Sciabaca & Oruka
“Quando soffia il vento del cambiamento, alcuni costruiscono muri, altri mulini a vento”.
Ora servono mulini più alti dei nuovi muri.
dernières infos
Stratégies juridiques pour contrer les politiques d’externalisation
Le rapport de l’ASGI, publié dans le cadre du projet Sciabaca & Oruka, est disponible en quatre langues et porte sur les litiges juridiques liés …
11 juillet – Restrictions à la mobilité en Tunisie : expériences de contentieux
En Tunisie, tout comme en Libye, les politiques financées et soutenues par l’Italie et l’Union européenne pour contrôler la mobilité entraînent de graves violations des …
Le nostre strategie transnazionali per contrastare le politiche
di esternalizzazione UE in Africa
project
Les projets Sciabaca et Oruka visent à contrecarrer les effets des politiques italiennes, européennes et internationales qui limitent certains droits fondamentaux des citoyen(ne)s non européens comme la liberté de circulation et le droit d’asile.
Les deux projets travaillent en synergie: Sciabaca se focalise sur les pays d’Afrique du Nord (le Maroc, la Libye, la Tunisie et l’Egypte), alors que Oruka s’occupe de cinq pays stratégiques en Afrique sub-saharienne et de l’Est (Nigéria, Niger, Tchad, Soudan et Éthiopie).
Dans ce but, Sciabaca et Oruka visent à créer et à renforcer le travail en réseaux avec des organisations de la société civile dans les pays extra européens (d’où le nom Sciabaca qui signifie «réseau» en arabe) afin de mieux documenter les violations, présenter des actions conjointes de contentieux, et échanger des informations, des expériences et des connaissances de manière régulière.
ASGI joue un rôle central en tant que catalyseur et coordinateur grâce à sa longue expérience en matière de litiges stratégiques pour des violations de droits fondamentaux.
Sciabaca et Oruka sont structurés en 5 «anneaux» (d’où le nom Oruka – en Yoruba «anneau»):
Créer des réseaux transfrontaliers avec la société civile extra européenne pour des actions conjointes de surveillance et litige
Vérifier la légitimité des accords de l’UE et des États membres avec des pays tiers
Contrôler l’utilisation des fonds italiens et de l’UE dans les politiques d’externalisation
Promouvoir le contentieux stratégique devant les tribunaux nationaux et internationaux
Faciliter le partage d’informations, des bonnes pratiques et des résultats obtenus